Ces extraits d’une lettre à une amie vont une fois de plus horrifier la plupart de nos contemporains habitués qu’ils sont à encenser le culte du moi, de la bonne santé, du développement personnel. Élisabeth va à l’encontre de tout cela et une fois de plus se met totalement en jeu… Poursuivre la lecture Pour atteindre à la vie idéale de l’âme, je crois qu’il faut vivre dans le surnaturel, c’est à dire ne jamais agir « naturellement »..
Catégorie : Elisabeth de la Trinité
Élisabeth décrit cette « louange de gloire » qu’elle veut être.
Très impressionnée par cette expression de Saint Paul « Laudem Gloriae » Élisabeth se l’approprie et signe d’ailleurs beaucoup de lettres en utilisant ce nom qui devient en quelque sorte le but unique vers lequel elle se concentre et qu’elle décrit très bien dans les lignes qui suivent: Une louange de gloire c’est une… Poursuivre la lecture Élisabeth décrit cette « louange de gloire » qu’elle veut être.
Cela a l’air d’une absurdité mais ceux qui aiment comprendront !
Mais pour arriver à cet Amour, l’âme doit s’être auparavant livrée toute entière, sa volonté doit être doucement perdue en celle de Dieu, afin que ses inclinations, ses facultés ne se meuvent plus que dans cet Amour et pour cet Amour. Je fais tout avec Amour, je souffre tout avec cet Amour.… Poursuivre la lecture Cela a l’air d’une absurdité mais ceux qui aiment comprendront !
La mort mystique nécessite le dépouillement intérieur.
« Vous êtes morts et votre vie est cachée en Dieu avec Jésus Christ » Saint Paul vient nous donner une lumière pour nous éclairer sur le sentier de l’abîme. « Vous êtes morts ». Qu’est ce à dire ? Sinon que l’âme qui aspire à vivre au contact de Dieu dans… Poursuivre la lecture La mort mystique nécessite le dépouillement intérieur.
Nous n’avons pas besoin de sortir de nous pour trouver Dieu.
Après nous avoir invité à demeurer en Lui, Dieu maintenant nous révèle que nous n’avons pas à sortir de nous pour le trouver : le royaume de Dieu est au dedans ! Saint Jean de la Croix dit d’ailleurs que c’est dans la substance de l’âme, où ne peuvent atteindre ni le… Poursuivre la lecture Nous n’avons pas besoin de sortir de nous pour trouver Dieu.
Il ne faut pas s’arrêter à la surface mais descendre au fond de l’abîme de notre néant.
Selon Saint Jean de la Croix le lieu où est caché l’essence divine est invisible à tout regard mortel, inaccessible à toute intelligence humaine. « Demeurez en moi »: c’est le Verbe de Dieu qui nous donne cet ordre, qui exprime cette volonté. Demeurez en moi, non pas pour quelques instants, quelques heures… Poursuivre la lecture Il ne faut pas s’arrêter à la surface mais descendre au fond de l’abîme de notre néant.
L’héritage que l’éternité nous a préparé, c’est la simplicité qui nous le donnera!
Voici extrait du « ciel dans la foi » un court et merveilleux passage d’Élisabeth sur la SIMPLICITE. Comme je le rappelle dans un de mes articles de ce blog c’est cette simplicité qui m’a frappé chez Bernard, chez Ma Ananda Mayi,et chez tous les êtres Réalisés.Il est important une fois encore d’oublier le cadre conditionné du… Poursuivre la lecture L’héritage que l’éternité nous a préparé, c’est la simplicité qui nous le donnera!
Voilà la condition: il faut être mort!
J’aime beaucoup ce merveilleux passage d’ELISABETH DE LA TRINITÉ et pour en approcher toute la profondeur il est nécessaire comme le dit souvent Bernard d’oublier son éducation Chrétienne et sa fonction de carmélite. Il est important que le chercheur si il est véritablement engagé puisse savoir lire au delà des formes pour: RESSENTIR L’ESSENTIEL AU… Poursuivre la lecture Voilà la condition: il faut être mort!
Prière d’ELISABETH de la Trinité commentée par Bernard Harmand.
Ce texte est une lettre écrite à un chercheur dans l’été 2013 et est repris dans son intégralité dans le livre publié aux éditions des deux océans :TOUT PAR AMOUR de Alain Jacquemart. Envoyé par Bernard le 14 Août 2013 Tout d’abord ses dernières paroles qui sont en fait, les avant-dernières : « il faut tout… Poursuivre la lecture Prière d’ELISABETH de la Trinité commentée par Bernard Harmand.