Au delà du doute!

bernard tal

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Dans ce dialogue avec un chercheur Bernard pose magnifiquement le problème du doute inhérent à toute recherche mais surtout montre le moyen de le dépasser.Car si le doute est un aiguillon et un catalyseur pour une recherche et est inévitable dans ce monde où l’on peut se faire abuser il est cependant à un certain moment délétère et empêche le chercheur sérieux d’arriver au but.

Donc si au début la discrimination est nécessaire (et Bernard répète constamment: ne croyez pas à ce que je dis: c’est mon expérience et voyez par vous même!) il arrive un moment où le chercheur doit s’abandonner pour aller au delà de ses conceptions étriquées et du jeu permanent de son mental qui lui empêchent de savourer les paroles VRAIES de celui qui donne tout par AMOUR ET POUR RIEN!

« QUAND LES CHERCHEURS ONT DES DOUTES, CE QUI EST PLUS QUE NATUREL, ET C’EST D’AILLEURS LE CAS DE LA PLUPART, ET BIEN A CE MOMENT LA :

IL FAUT ÊTRE CAPABLE DE REMPLACER LES CERTITUDES IMPOSSIBLES PAR LA CONFIANCE.

Et CETTE CONFIANCE ENGLOBE BIEN SÛR : L’AMOUR MAIS LE VRAI:CELUI QUE L’ON DOIT RESSENTIR PAR TOUTES LES PORES DE NOTRE PEAU, DANS TOUS LES SENS ET PAR DES FRISSONS DE BONHEUR, A L’ECOUTE DE VRAIES RÉPONSES A DE VRAIES QUESTIONS.

JE NE SAIS MÊME PLUS TRÈS BIEN LE DÉCRIRE MAIS DISONS UN AMOUR QUI EST PLUS UN ETAT D’AMOUR INTÉRIEUR POUR NOTRE QUÊTE, POUR TOUT CE QUI NOUS AIDE DANS CETTE DÉMARCHE ET QUI NOUS FAIT VIBRER.UN AMOUR DANS LEQUEL IL N’Y AURAIT QUE LE CŒUR ,SANS AUCUNE INTERPRÉTATION, ET SANS ATTENTE PARTICULIÈRE.

Et tout ceci vient simplement parce que dans cet Amour on est « bien » et que l’on a envie encore et toujours d’aller au delà.C’est TELLEMENT BEAU D’AIMER POUR RIEN QUI NE SOIT HABITUEL EN FIN DE COMPTE……Et tout ceci n’est même pas recherché, car cet Amour s’impose de lui même:on l’accueille avec tant de joie! Mais les mots sont bien trop faibles pour exprimer cet Amour.

 OUI IL FAUT TOUT DE MÊME QU’UN JOUR APRES DES ANNÉES DE DOUTES LÉGITIMES, DE TRAÎNAGES DE PIED ET D’INDÉCISION : IL FAUT QUE LE CHERCHEUR QUI BIEN ENTENDU VEUT ALLER AU BUT ULTIME:

RESSENTE PLEINEMENT QUE CELUI QUI TÉMOIGNE NE LE FAIT QUE POUR LUI SEUL ET RIEN D’AUTRE ET QUI PLUS EST POUR RIEN, OUI ABSOLUMENT POUR RIEN

ALORS TOUT DEVIENT POSSIBLE ET C’EST LE CHERCHEUR QUI DOIT ADAPTER LES PAROLES DE L’ÊTRE RÉALISÉ A SON ETAT D’ÂME DU JOUR ET NON LE CONTRAIRE

 CECI EST UNE TRÈS BONNE RECETTE MAIS ENCORE UNE FOIS EST-IL NÉCESSAIRE D’AVOIR UNE PASSION COMME IL EST MALHEUREUSEMENT SI RARE D’EN AVOIR UNE. »